Pendant que les Etats-Unis et le Royaume-Uni adoptent des politiques pour encadrer la synthèse d’ADN, l’Europe tergiverse. Un retard qui pourrait coûter cher à une bioéconomie pesant 728 milliards d’euros, prévient dans une tribune au « Monde » Sophie Peresson, responsable de l’Initiative internationale sur les standards de biosécurité.
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